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15 novembre 2008 6 15 /11 /novembre /2008 17:37

Introduction , Histoire et mythologie
Le caractère mythologique des religions est parfois mis en question, mais ce n'est pas simplement la religion qui peut être mythologique, le probléme c'est que l'Histoire n'est pas une science empirique (comme les mathématiques, la physique ou la chimie par exemple), mais l'Histoire est une science Humaine (sujet a interprétations), surtout avec la destruction des indices Historiques (ou les secrets volontairement bien gardé) et les découvertes tardives, c'est donc l'Histoire elle même qui est mythologique en partie plus ou moins grande, pas simplement la religion
 
(il n'y a qu'a voir par exemple les erreurs des inspecteurs de police ou judiciaire même avec un temp historique court, des innocents sont condamnés ou des coupables introuvables, il y a aussi des enquêtes qui reussissent évidement, et donc l'Histoire reste une science même si elle est humaine
)




Documents non chrétiens :

 

Cornélius Tacite (55 - 118)
Il est considéré comme le plus grand historien de la Rome impériale. Senateur Romain
"le nom de chrétien leur vient du nom de Christ, qui fut condamné sous le règne de Tibère, par le procureur Ponce Pilate, ..." (Annales, 15.44)



Jesus et Le Talmud (Juif) : Il est important de noter que le Talmud est à priori hostile à Jésus : on ne peut donc taxer ses textes de partisans. Ainsi, le Talmud atteste fortement l'historicité de Jésus, mais aussi le fait que Jésus accomplissait des miracles puisqu'il considère que Jésus pratiquait la magie ! Et il en est de même pour les miracles accomplis par les disciples puisqu'il reconnaît que ses disciples guérissaient des malades en son nom …

(Sanhédrin, 43a) 

"La tradition rapporte : la veille de la Pâque, on a pendu Jésus. Un héraut marcha devant lui durant quarante jours disant : il sera lapidé parce qu’il a pratiqué la magie et trompé et égaré Israël. Que ceux qui connaissent le moyen de le défendre viennent et témoignent en sa faveur. Mais on ne trouva personne qui témoignât en sa faveur et donc on le pendit la veille de la Pâque."

(Sanhedrin 107b et Sotha 47a)

" Il a été dit : Jésus pratiquait la sorcellerie, il a séduit et égaré Israël".



Jean le Baptiste
A propos de Jean le Baptiste, il est intéressant de signaler un texte ancien, que nous a laissé l'historien Flavius Josèphe en écrivant ses "Antiquités Judaïques" vers l'an 79. Le passage en question confirme le destin tragique de Jean, qui fut d'après les évangiles arrêté et décapité par ordre du roi Hérode Antipas. La raison donnée dans l'Ecriture est liée à une affaire de vie privée illégitime du roi (Matthieu 14, 1-12 ; Marc 6, 17-29). Le texte de Flavius Josèphe, quoiqu'il diffère sur le mobile du meurtre, restitue assez bien le contexte de la vie de Jean [2] :
" Or, il y avait des Juifs pour penser que si l'armée d'Hérode avait péri, c'était par la volonté divine et en juste vengeance de Jean surnommé le Baptiste. En effet, Hérode l'avait fait tuer, quoique ce fût un homme de bien et qu'il excitât les Juifs à pratiquer la vertu, à être justes les uns envers les autres et pieux envers Dieu pour être unis par le baptême; car c'est à cette condition que Dieu considérait le baptême comme agréable, s'il servait non pour se faire pardonner certaines fautes, mais pour purifier le corps, après qu'on eût préalablement purifié l'âme par la justice. D'autres s'étaient rassemblés autour de lui, car ils étaient très exaltés en l'entendant parler. Hérode craignait qu'une telle faculté de persuader ne suscitât une révolte, la foule semblant prête à suivre en tout les conseils de cet homme. Il aima donc mieux s'emparer de lui avant que quelque trouble se fût produit à son sujet, que d'avoir à se repentir plus tard, si un mouvement avait lieu, de s'être exposé à des périls. A cause de ces soupçons d'Hérode, Jean fut envoyé à Machéronte, la forteresse dont nous avons parlé plus haut, et y fut tué. Les Juifs crurent que c'était pour le venger qu'une catastrophe s'était abattue sur l'armée, Dieu voulant ainsi punir Hérode."
http://bible.archeologie.free.fr/grottejeanbaptiste.html



Exemples d'autres récits bibliques confirmés par des sources extra bibliques :

-La campagne menée contre Israël par le pharaon Shishak, relatée sur les murs du Temple d'Amon à Thèbes en Egypte (1 Rois 14 :25-26)

-La capitulation de Samarie devant le roi d'Assyrie Sargon II, racontée sur les murs de son palais (2 Rois 17 :3-6, 24; 18 :9-11)

-La défaite d'Ashdod devant Sargon II, racontée sur les murs de son palais (Esaïe 20:1)

-La campagne du roi assyrien Sennacherib contre Juda, décrite sur le Prisme de Taylor (2 Rois 18 : 13-16)    

-L'assassinat de Sennacherib par ses propres fils, tel qu'il est raconté dans les annales de son fils Esarhaddon (2 Rois 19:37).    

-La chute de Jérusalem devant Nabuchodonosor, roi de Babylone, décrite dans les Chroniques Babyloniennes (2 Rois 24:10-14)

-La captivité à Babylone de Yehoyakin, roi de Juda, rapportée par le Registre Babylonien des Rations (2 Rois 24:15-16)    

-L'obligation pour les Juifs de quitter Rome pendant le règne de Claude (41-54 de notre ère), rapporté par Suétone (Actes 18:2)

-piéce de monnaie et pierre du théâtre de Césarée portant l'inscription "Ponce Pilate" au Musée d'Israel a Jérusalem

 

" 1) les inscriptions néo-assyriennes des IXe au VIIe siècle av. J.-C. mentionnant des rois d'Israel et de Juda, et notamment l'Obélisque noir montrant le roi israélite Jéhu se prosternant devant le roi assyrien Salmanasar III;

2) l'inscription du tunnel de Siloé, datant du VIIIe siècle av J.-C.et évoquant la création du système d'alimentation en eau de Jerusalem sous Ezéchias, roi de Juda (de récentes analyses au thorium-uranium sur le plâtre du tunnel ont confirmé la datation de l'inscription);

3) la stelle de Tell Dan, du IXe siècle av. J.-C., qui mentionne la dynastie de la "Maison de David" 

Dictionnaire archéologique de la Bible, p13

- Le siège de Lachish par Sennacherib, rapporté sur les bas-reliefs du palais de Sennacherib de Lachish (2 Rois 18:14, 17)

- La chute de Ninive telle qu'elle fut prédite par les prophète Nahum et Sophonie, reportée sur la Tablette de Nabopolasar (Sophonie 2 :13-15)

- Stèle de victoire du roi d'Akkad Narâm-Sîn, de l'empire Nemrod dans la ville Akkad; Akkadé (Gn 10,10)

- cité de Arad (tell) forteresse Israélite, ostracon portant la première mention connue de la "Maison de Yavhé" encre sur tesson de poterie fin du VIIe av J.-C. (Nb 14,44-5; Dt 1,44); deux contiennent les noms de deux familles de prêtres mentionnées dans la Bible, Merèmot et Pashehur (Esd. 8,33; Ne3,4,21; Jr 20,1); lettre de la même période contient l'ordre strict d'expédier des renforts d'hommes d'Aradet de Qinah (Jos15,22) a Ramath-Négev (Jos19,8;1 Sm 30,27)

- Statuettes d'Astarté, argile Xe VIIe siècle av J.-C. Déesse de la fertilité pour les Cananéens, les Sidoniens (1R 11,5) et les Philistins (1Sm 31,10)

- Liste des villes conquises par Sheshonq Ier, gravée sur les murs du temple de Karnak (1R 14,25; 2Ch12,2)

- Stèle de Misha roi de Moab ériger a Dibôn confirme les événements, Mesha se souleva sous le règne de Joram (2R 3,4; 2R 3,27)

- Conquête de Babylone et décret de retour des populations éxilées et des temples, retranscrite sur le Cylindre de Cyrus (Ez 2; 6,5)

- Jéhu roi d'Israel sur l'Obélisque de Salmanasar III 

 





Dieu et Dieux : polythéisme et monothéisme

On a pus d'écouvrir au fil des recherches et découvertes que certains dieux polytheistes etaient en fait d'anciens rois ou héros antique qui beneficiaient de protection Divine dans leurs histoires (exemples des pharaons humains devenants dieux , ou des demis dieux grecs humains), o
n peut donc en déduire que en réalité le polythéisme n'éxisterait pas vraiment

D'ailleur aujourd'hui nous utilisons aussi différents dénominations pour le même Dieu unique , comme l'Eternel , Yaveh , Jehovah , le Père , le Tout Puissant , Allah , etc...
Sa ne veut pas dire que nous avons plusieurs Dieux , mais il sagit évidément du même Dieu , il faut donc être tres prudent dans les interprétations polythéiste et Monothéiste

Il n'a pas echappé aussi a certains que les attributs polythéistes et monothéistes sont souvent similaire voir tres proche (exemple parmis d'autres : dieu de l'amour , Dieu est amour) , la difference etant surtout au niveau de Dieu et Dieux


Toutes les religions se ressemblent et ont les mêmes bases importantes, donc viennent du meme Dieu , aucun ou aucune ne se trompe , les quelques détails qui peuvent les séparer ne sont pas insurmontable , il s'agit de détails culturelle ou Historique que Dieu a adapté a la situation pour que ces religions colle au mieux a ces enfants au moments et a l'endroit ou Dieu le voulait
Et pour cause , un seul Dieu a cree toute ces religions et se sont les Hommes et l'Histoire qui les ont modifiés ou deformés au fil du temp pour en faire des Dieux
Je prend un exemple avec le christianisme dont l'un des dogmes est la "trinité" (le pere , le fils et le saint esprit) , on pourait imaginer dans 5000 ans a force de modification et de deformation Humaine et/ou Historique , le pere devenir un dieu , le fils un dieu et le saint esprit un dieu , devenant ainsi polytheiste et beaucoup moins vrai , le Judaisme et le Christianisme est simplement la plus recente avec l’Islam et donc la plus complete a tout niveau en general et les Dieux polythéistes sont simplement des déformations de monotheisme 

Il s'agirait donc plutot de monothéisme divisés et/ou subdivisé , les déformations pouraient être dus a un manque de fixation par les écritures , les polythéismes plus ancien avait une transmission plutot oral favorisant ces déformations avant l'apparition de l'écriture , le monothéisme avec sa transmission plutot écrite a permis son maintient et évité la polythéisation des monothéismes

(les tout débuts de l'apparition de l'écritures font exeption car c'etait une retranscrition ecrite d'une longue tradition oral)
Dans tout les polythéismes il y a souvent 1 des dieux qui ressort plus que les autres , se qui pourrait laissé penser que ces polythéismes serait en fait d'ancien monothéisme :

Divinités grecques

Dans la mythologie grecque Chronos (en grec ancien Χρόνος / Khrónos) est un dieu primordial personnifiant le temps. C'est un être immatériel, apparu à la création du monde.

Divinité berbère

le seul a avoir réelement de titre de dieu , Agurzil est dans la mythologie berbère le dieu de la guerre appelé aussi Gurzil
Dieu chinois
Pangu premier être sorti du chaos, a séparé le ciel et la terre et donné naissance à notre monde

Divinité olympienne

Zeus (en grec ancien Ζεύς / Zeús, de la racine indoo-européenne *dyēus, dieu du ciel[1]) est le roi des dieux dans la mythologie grecque
mythologie celtique gauloise
Ésus semble avoir été l'un des dieux les plus importants de la mythologie celtique gauloise

mythologie celtique

Lug est le dieu suprême de la mythologie celtique

mythologie celtique irlandaise

Le Dagda (« dieu bon » - Daga Devos) est, dans la mythologie celtique irlandaise, le dieu le plus important des Tuatha Dé Danann

Divinité hindoue

Brahmâ est le dieu créateur de l'hindouisme

Divinité Incas

Viracocha est le principal dieu des Incas dieu créateur

Divinité japonaise

Tenjin ( 天神) est le dieu des études dans le shintoïsme Son nom signifie Dieu aux cieux.

Divinité égyptienne

Dans la genèse des dieux égyptiens Atoum occupe la place du créateur. C'est lui qui de sa semence créera le premier couple divin, Chou et Tefnout d'où descendront les principaux dieux de l'Égypte antique (la grande Ennéade).

Divinité nordique

Odin (ou Óðinn, ou encore Odhinn en vieux norrois, ou Jolnir, ou Wotan ou Wodan en langue germanique) était considéré comme le roi des dieux.

Divinité du Proche-Orient ancien

El est un mot des langues sémitiques du groupe nord-ouest, signifiant "dieu". Il peut avoir pris différentes significations selon l'endroit et le lieu où il est attesté, et il a notamment servi à désigner un dieu précis, qui a occupé une place importante dans différents panthéons.

Divinité romaine

Jupiter est le dieu romain du Ciel. Il est aussi le père des dieux. Il a pour symbole l'aigle et la foudre. Le nom Jupiter vient probablement d'une altération de Jupaterus, Ju- pater, littéralement « Père des cieux », de la racine indo-européenne *Dy ("dieu du ciel", "dieu suprême").

 

Il peut très bien s'agir du même Dieu mais prononcer dans des langues différents, d'ou des noms différents evidement

les non croyants ont parfois aussi leurs theories opposés dans le sens inverse sur le monotheisme qui aurait copié les polytheismes et des polytheismes uniquement humains 

leurs théories ne sont pas très éloignés de celle des croyants, l'intervention humaine dans l'histoire des religions pour les croyants consiste dans une déformation des monotheismes en polythéismes, l'intervention humaine pour les non croyants consiste dans une création totalement artificiel

dans les deux cas il y a une intervention humaine dans l'histoire des religions, pas ettonante quand on connait la curiosité de l'humanité pour tout les savoirs, seul reste comme divergence la nature et l'ampleur de cette perturbation humaine
 

 

 

 

Inquisition

 

En premier lieu, les aveux spontanés ou les condamnations légères exposent à des peines purement religieuses : réciter des prières, assister à certains offices, jeûner, effectuer des dons aux églises, se rendre en pèlerinage dans un sanctuaire voisin ou, dans les cas graves, à Rome, à Saint Jacques de Compostelle ou à Jérusalem. Il peut être imposé de porter un signe distinctif sur les vêtements (une croix), humiliation souvent remplacée, dès le XIIIe siècle, par une amende.

 

En l’espace de quelques mois en 1793, la terreur jacobine qui avait 'purifié' la cathédrale Notre-Dame de Paris de la 'superstition chrétienne' fit plus de victimes en France que les trois Inquisitions catholiques réunies (médiévale, espagnole et romaine) et peut-être même que celles de toutes les autres confessions chrétiennes

La révolution française a fait plus de morts en un mois au nom de l'athéisme que l'Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen Age et dans toute l'Europe...

Rappelons que la Révolution faite au nom du peuple a touché en premier le Tiers Etat et non les nobles : "Au total, 80 % des victimes appartiennent au Tiers État" (Albert Soboul, Dictionnaire historique de la Révolution française, édition Quadrige, PUF, 2005, p. 1023).

René Sédillot quant à lui, au sujet de la Terreur, avance un nombre global de victimes devant "s'élever à 35.000 ou 40.000" (René Sédillot, Le Coût de la Terreur, Vérités et Légendes, Perrin, Mesnil-sur-l'Estrée 1990, p. 208). Comparé aux "10 à 12.000 exécutions capitales en trois siècles" au titre de l'Inquisition, la Terreur a effectivement fait, en quelques mois, entre trois et dix fois plus de morts que l'Inquisition en trois siècles.

 

 

Sous l'Inquisition, les condamnations capitales étaient rares. Les victimes, dans ce cas, étaient livrées au bras séculier, la justice laïque, qui pratiquait le bûcher. Ce supplice entraînait la mort par asphyxie. Mort atroce, mais la mort par pendaison ou décapitation, qui s’est pratiquée en Europe jusqu’au xxe siècle, ou la mort par injection qui se pratique aux États Unis, sont-elles plus douces ?


    Jean Sévillia, Historiquement correct, Pour en finir avec le passé unique, Perrin, Saint-Amand-Montrond 2003, p. 65, 79.

 

 

 

GUERRES DE RELIGIONS

Plusieurs éléments a décharge de ces conflits sont a prendre  en compte pour les califier plus précisements

- le catholicisme etait religion d'état a ce moment la, le protestantisme etait donc une agréssion de l'etat plus que de la religion, pour preuve après la séparation laic il n'y eu plus aucun conflit mais l'état Francais lui connus beaucoup de conflit (avecNapoléon,colonisation)

- le roi de France etait un enfant a ce moment la, idéal pour un coup d'état des protestants qui ne veulent pas que la France obéissent au Pape

- L'Angleterre a soutenus les armèes protestantes Française et l'Espagne les armées catholiques en France

Ces éléments conforteraient l'idée que c'est l'état Français qui etait réelement visé, a travers des éléments religieux

 

 





« La Bible avait raison » L'archéologie révèle l'existence des Hébreux en Égypte
Pour la première fois, grâce aux toutes récentes découvertes archéologiques et scientifiques, Joseph Davidovits fait le lien entre récit biblique et faits historiques. On prouve l'existence des Hébreux en Égypte et on date l'Exode, sur fond de conflits religieux, de luttes de pouvoir et d'une révolution avortée.Le professeur Joseph Davidovits est un scientifique internationalement reconnu. Membre de l'Association internationale des Egyptologues, docteur en sciences, il est le spécialiste mondial des géopolymères (pierres de synthèse).
2005 La Bible avait raison, Tome 1: L'archéologie révèle l'existence des Hébreux en Égypte ,éditions Jean-Cyrile Godefroy, Paris. ISBN 2-86553-182-1
2006 La Bible avait raison, Tome 2: sur les traces de Moïse et de l'Exode ,éditions Jean-Cyrile Godefroy, Paris. ISBN 2-86553-190-2

http://www.decitre.fr/recherche/resultat.aspx?criteres=La+Bible+avait+raison&typeCritere



 

Il a souffert sous Ponce Pilate. Enquête historique sur la Passion et la mort de Jésus , Vittorio Messori
Quelle est la valeur historique des Évangiles ? De la réponse à cette question dépend, en fait, l'intérêt et la portée du christianisme lui-même.
Comme le remarque le cardinal Martini, archevêque de Milan : " Il n'a jamais existé un christianisme primitif qui ait affirmé comme premier message : aimons-nous les uns les autres ; Dieu est le père de tous ; nous sommes frères, etc. Du message : Jésus a souffert, Il est mort et Il est vraiment ressuscité le troisième jour, découle tout le reste. " Contrairement à des études récentes, Vittorio Messori fait une synthèse puissante, accessible à tous et très documentée, intégrant l'ensemble des recherches actuelles, tant en exégèse que dans les domaines connexes de la linguistique, de l'archéologie, de l'histoire et, en écho aux plus récentes découvertes, de la papyrologie : la science des manuscrits anciens.
Cette analyse se lit comme un roman et le lecteur est vite " pris " par la force des questions et l'extraordinaire sentiment de " vécu " qui apparaît à chaque page. A l'évidence, la recherche rigoureuse est infiniment plus riche, plus féconde et plus convaincante que toutes les présentations approximatives ou toutes les " prudences " calculées qui cherchent, en fait, à éviter de regarder la vérité en face: si des juifs pieux et instruits ont reconnu en Jésus le Messie, ce n'est pas avant tout parce qu'Il aurait été une sorte de " grand initié", mais bien parce qu'Il est mort et ressuscité, et que les Évangiles sont le témoignage certain de cette vérité.
 
L'auteur en quelques mots...
Vittorio Messori, historien et grand journaliste italien, est l'auteur de nombreux livres qui ont rencontré un succès mondial.
Parmi ceux-ci : Hypothèses sur Jésus. Enfin, récemment, il a réalisé avec Jean-Paul II le dernier grand livre-entretien du Pape : Entrez dans l'espérance.
http://www.decitre.fr/livres/Il-a-souffert-sous-Ponce-Pilate.aspx/9782868397164




 
Dictionnaire archéologique de la Bible ; Avraham Negev
Nulle terre n'a été fouillée comme la Terre sainte.
En un siècle et demi notre connaissance du monde de la Bible a été considérablement renouvelée à travers l'archéologie. Celle-ci connaît en effet, depuis une trentaine d'années, un développement prodigieux : d'innombrables chantiers ont été ouverts un peu partout au Proche-Orient ; des données autrefois douteuses ou incertaines ont pu être vérifiées sur le terrain ; d'autres ont soulevé des problèmes nouveaux.
Il suffit, d'évoquer ici l'immense retentissement de la découverte des manuscrits de la mer Morte ou des fouilles de la forteresse de Masada. La première édition de cet ouvrage, en 1970, dirigée par le professeur Abraham Negev, de l'Université hébraïque de Jérusalem, avait constitué une tentative originale d'approche archéologique de la Bible. La présente édition offre une refonte totale rédigée par plus d'une centaine de spécialistes qui ont participé le plus souvent aux fouilles dont ils présentent les résultats.
Plus de 800 entrées alphabétiques accompagnées de plans, de photographies et de tables chronologiques offrent un répertoire de la majorité dés sites archéologiques de la Terre sainte (Israël, Palestine et Jordanie), avec leur identification actuelle. Pour chacun des sites (villes, monuments, forteresses, cours d'eau, plaines, montagnes), un bref descriptif géographique et un relevé des occurrences dans les textes saints sont suivis d'un solide exposé historique mêlant archéologie, ethnographie, économie et religion.
Outre les sites bibliques, sont aussi étudiés sur dix millénaires - des temps préhistoriques à la conquête arabe -, les peuples et les tribus, les règnes et les dynasties, les habitudes alimentaires, l'habitat, les techniques et les objets de ces civilisations. L'ouvrage fait ainsi revivre les lieux et les temps prestigieux où se jouèrent quelques-uns des actes les plus importants de l'histoire humaine et où plongent les racines de notre civilisation.
L'auteur en quelques mots...
Professeur d'archéologie classique à l'Institut d'archéologie de l'Université hébraïque de Jérusalem, ABRAHAM NEGEV (1923-2004) a dirigé de nombreux chantiers de fouilles à Abada, Césarée, au théâtre romain de Bêt-Shéân, à Memphis, etc.
Il est l'auteur de nombreux ouvrages et articles en hébreu et en anglais dont Cities of the desert (1966), Caesarea (1967), Archaeology in the Land of the Bible (1977). Au cours des vingt dernières années, SHIMON GIBSON Senior Associate Fellow, Institut Albright de recherche archéologique, Jérusalem, a dirigé de nombreuses fouilles, en particulier à Sertaf, Tel el-Ful, Modi'in et Jérusalem. Il édite depuis 1987 le Bulletin of the Anglo-Israël Archaeological Society.
JEAN-JACQUES GLASSNER directeur de recherche au CNRS, enseigne à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales, à Paris. Il a publié, entre autres, La Tour de Babylone : que reste-t-il de la Mésopotamie ? (2003) ; Ecrire à Sumer : L'invention du cunéiforme (2000) ; Chroniques mésopotamiennes (1993).

http://www.decitre.fr/livres/Dictionnaire-archeologique-de-la-Bible.aspx/9782850259074





 
Pie XII et les juifs : Le mythe du Pape d'Hitler de David G. Dalin
Présentation de l'éditeur
"Pie XII n'a pas été le pape d'Hitler, comme certains de ses détracteurs voudraient nous le faire croire. Bien au contraire, ce pape de la Seconde Guerre mondiale a lutté, dès les premières heures du régime nazi, pour sauver les victimes de l'antisémitisme. Par une multitude de faits historiquement établis, le rabbin et professeur Dalin démonte le mythe qui affirme que Pie XII serait le "Pape d'Hitler", prouvant ainsi l'inanité d'attaques scandaleuses tel l'ouvrage de John Cornwell intitulé The Hitler's pope. " Imputer la condamnation qui revient à Hitler et aux Nazis à un pape qui s'opposa à eux et était ami des juifs est une abominable calomnie. Quels que soient leurs sentiments vis-à-vis du Catholicisme, les juifs ont le devoir de rejeter toute polémique qui s'approprie la Shoah pour l'utiliser dans une guerre des progressistes contre l'Église catholique. Si un tel combat devait être couronné de succès, cela minerait les fondements du Christianisme ainsi que du Judaïsme, du fait de l'incommensurable mépris de la vérité et de la religion traditionnelle dont ces détracteurs sont animés ". Rétablir la vérité, c'est le leitmotiv du rabbin Dalin. Et il s'exécute de manière magistrale, nous faisant pénétrer dans les coulisses diplomatiques de l'Histoire et réclamant pour Pie XII le titre de "Juste des Nations" en reconnaissance des si nombreuses vies juives sauvées par ce pape.

LE RABBIN DAVID DALIN, spécialiste de l'Histoire juive américaine et des relations juives et chrétiennes, professeur d'Histoire et de Sciences- Politiques à Ave Maria University, est auteur de plusieurs livres sur l'Histoire juive, en particulier Religion and State in the American Jewish experience, sélectionné par Choice comme l'un des meilleurs travaux académiques en 1998.

PIE XII ET LES JUIFS, LE MYTHE DU PAPE D'HILTER a obtenu une très large audience à sa sortie aux États-Unis en juillet 2005 (plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires vendus), touchant à la fois conservateurs et républicains, catholiques et juifs, et autres amateurs de livres religieux ou historiques.

 

 

 

 

 

Da Vinci, la grande mystification - Réponse à une imposture ésotérique, Amy Welborn 

Voici les réponses que vous cherchiez.
Ce sont aussi celles que votre famille, vos amis et vos collègues se sont posées. Le best-seller, Da Vinci Code a soulevé de nombreuses polémiques pour les chrétiens et les non-chrétiens. Les lecteurs du roman ont eu très souvent du mal à faire la part entre le vrai et le faux dans les propos de Dan Brown. Qu'en est-il effectivement ? Quelle est la vérité sur la personne de Jésus et sur sa vie publique ? Jésus était-il marié à Marie Madeleine ? Des écrits gardés secrets et " exclus " de la Bible contiennent-ils la vérité sur Jésus, Marie Madeleine et le " féminin sacré " ? l'empereur romain Constantin a-t-il inventé le christianisme moderne ? Le prieuré de Sion a-t-il réellement existé ? Qu'est-ce que le Saint Graal ? Léonard de Vinci a-t-il caché des codes dans ses œuvres, évoquant la véritable vie de Jésus et de Marie Madeleine ? Voici un ouvrage qui répond, honnêtement, clairement et sans chercher le conformisme qui accompagne la vague commerciale Da Vinci, à ces questions.
Une vérité fascinante sur des faits déformés par le Da Vinci Code.

 

L'auteur en quelques mots... Amy Welborn, née aux Etats-Unis en 1960, est mère de cinq enfants.
Diplômée d'histoire et spécialisée dans l'histoire de l'Eglise, elle commence sa carrière par l'enseignement de la théologie et la catéchèse des jeunes. Depuis plusieurs années elle se consacré à l'écriture pour la presse catholique et a publié plusieurs ouvrages apologétiques, entre autres sur le phénomène Da Vinci, la grande mystification et Da Vinci, le film mystificateur.

http://www.decitre.fr/livres/Da-Vinci-la-grande-mystification.aspx/9782916053042

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